De l'espace, de GRANDS espaces, des espaces d é v a s t é s, a b a n d o n n é s, d é l a i s s é s, l a i s s é s p o u r c o m p t e. À une époque comme la notre et surtout avec la surenchère du sol qui sévit depuis plusieurs années à Montréal, il est inconcevable de penser que d'aussi grandes superficies de sol sont dénuées de toutes activités et de toutes constructions. Alors qu'on cherche à loger des gens, que certains s'éloignent dans des banlieues profondes (et obscures...), il est dur de croire que des terrains sont vacants, si proche du centre-ville, à proximité de lieux de villégiature tels que la bordure du canal et la piste cyclable. Et losrqu'on pense comme un gestionnaire, il est difficile d'imaginer que des centaines de millier sinon des millions de dollar sont perdus en taxe et impôt foncier, faute d'avoir quelque chose de construit sur ce "no man's land". Des sommes qui pourraient participées à la reconstruction / restauration des infrastructures de la cité, qui on le sait bien, en aurait bien besoin. Et lorsqu'on est un peu fou (comme moi), on va jusqu'à envisager des bâtiments qui ne feraient pas que construire le vide mais qui participeraient conjointement à la restauration de la ville.
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