samedi 31 mars 2012

Échangeur d'air

Il est nécessaire de renouveler l'air intérieur d'une pièce habitée, d'un habitacle de véhicule, d'un élevage, d'une serre, tout d'abord parce que la respiration animale (ou végétale, la nuit) y diminue la quantité de dioxygène disponible, augmente la quantité de gaz carbonique et d'humidité ; Ce renouvellement est particulièrement important dans les enceintes totalement fermées (les maisons modernes le sont de plus en plus).

La ventilation une nécessité

Une bonne ventilation pour renouveler l’air de son logement (maison, habitat collectif) est indispensable. Sans ventilation, les polluants s’accumulent chez vous et peuvent avoir des effets néfastes sur votre santé, votre confort et votre logement. Les spécialistes de la pollution s’accordent à dire qu’un local où l’air est vicié car non renouvelé, est plus pollué et nocif qu’une grande avenue aux heures de pointe. Dans le passé, cette aération se faisait naturellement dans les logements, peu étanches aux courants d’air. Maintenant, l’isolation des habitations a fait beaucoup de progrès et nous avons besoins de systèmes de ventilation efficaces, pour bien remplir leur rôle et nous fournir en permanence de l’air de qualité et maîtriser nos dépenses énergétiques.

Ce qu'on doit savoir

Ce qu'on doit savoir


La disposition la plus importante du Code national du bâtiment concerne la ventilation mécanique des maisons neuves. En plus de l'obligation d'équiper la maison d'un système capable de remplacer le volume d'air total d'une maison une fois à tous les 3 heures, il est maintenant requis d'acheminer l'air frais dans chaque pièce habitable au moyen de conduits. Les conduits rigides donnent un meilleur rendement en plus de pouvoir être nettoyés et balancés. L'installation d'un ventilateur à récupérateur de chaleur est conseillée pour des raisons de confort et d'efficacité énergétique. Si la maison comporte des appareils de combustion, comme un foyer ou une fournaise à l'huile, il est nécessaire d'équiper le système d'une prise d'air de compensation. L'installation d'un détecteur d'oxyde de carbone (CO) est fortement recommandée.

Si la compensation d'air se fait seulement par les infiltrations à travers l'enveloppe, il est possible que des polluants contenus dans les matériaux de l'enveloppe viennent contaminer l'air intérieur. Le système de drainage pourrait également contribuer à la pollution de l'air intérieur en permettant au radon de s'infiltrer dans des espaces habités.

Ventilation mécanique de votre maison

Les maisons modernes sont étanches, ce qui en augmente le confort et diminue d'autant les dépenses énergétiques. Malgré cela, les divers facteurs qui ont un effet sur la qualité de l'air intérieur constituent une menace pour la santé des occupants. En même temps qu'on construisait les maisons de manière étanche, on introduisait une foule de matériaux composites, assemblés à l'aide d'adhésifs contenant certaines substances toxiques. À titre d'exemples, citons les panneaux particules qui servent à construire des armoires de cuisine et les pièces de mobilier destinées aux enfants ainsi que les tapis qui recouvrent le sol de la plupart des chambres à coucher.

mercredi 28 mars 2012

JOURNEE D'ETUDE


Développement contrôlé? Mais par qui?

« ... il n’est nullement question de transformer notre municipalité selon le modèle de Saint-Sauveur par exemple. Toutefois, sans un développement contrôlé, nous ne pourrons maintenir, et encore moins, développer les services de proximité dont nous avons grandement besoin. Je crois fermement que c’est en conjuguant tous les atouts et forces de notre communauté que nous réussirons à améliorer notre qualité de vie. J’aime aussi à penser que vous êtes tous avec nous, les membres de votre Conseil, pour un avenir meilleur. » (Réal Pelletier)
Mot du maire, La voie municipale, mars 2012


Les échangeurs sud et nord à Saint-Armand en 2017,
selon une simulation du ministère des Transports du Québec. 
Notre maire parle d'un développement 'contrôlé. La question qui tue : Un développement contrôlé par qui et selon quelles priorités?
En lisant le 'Mot du maire', je me suis rappelé deux recommandations des commissaires du BAPE dans leur rapport final sur le Projet de parachèvement de l'autoroute 35 :
« La commission [...] invite la municipalité de Saint-Armand à travailler de concert avec le ministère des Transports afin d’améliorer la sécurité du chemin de Saint-Armand et la quiétude des lieux, dans le respect des caractéristiques paysagères qui en font un attrait touristique reconnu par la MRC de Brome-Missisquoi et partie intégrante des circuits "Paysages pittoresques" et "Tranquillité légendaire" ». (Avis 34, p. 110)
« La Commission est d'avis que, compte tenu de la grande vulnérabilité du noyau de bâtiments à caractère patrimonial de Saint-Armand et de sa proximité avec l’échangeur projeté, il serait opportun avant toute intervention dans ce secteur que le ministère des Transports consulte les propriétaires, la municipalité de Saint-Armand ainsi que le ministère de la Culture et des Communications afin de s’assurer que les travaux ne compromettent pas la mise en valeur des lieux ». (Avis 33, p. 109)
Jusqu'à maintenant, ce projet de développement est entièrement contrôlé par le ministère des Transports du Québec. Or, l'aménagement des deux premières sorties de l'autoroute 35 sera particulièrement déterminant pour l'avenir de Saint-Armand et de sa population.
Pris en charge et revitalisé par le milieu, ce passage unique pourrait devenir très concrètement un trait d'union entre Philipsburg et Saint-Armand, entre le passé et le présent, entre anglophones et francophones, entre l'eau et la terre...
Mais qu'adviendra-t-il si l'aménagement de cet axe de développement névralgique est laissé au MTQ et à quelques promoteurs immobiliers privés? J'y pense chaque fois que j'emprunte l'autoroute 10 et que je vois annoncée la sortie Ange-Gardien... « Il n’est nullement question de transformer notre municipalité selon le modèle de Saint-Sauveur », avez-vous dit? 

lundi 26 mars 2012

Projection-Débat : Attention, féministes!



L'UCL vous invite à une projection-débat 
le mercredi 4 avril prochain à 19h au DIRA 
(2035 St-Laurent, 3ième étage).


Amenez vos ami-e-s curieux et curieuses des féminismes mis en pratique ici et maintenant au Québec!


Version française chuchotée vers l'anglais
English translation will be available


*  *  *


« La femme occidentale moderne est dite émancipée. Les nombreuses batailles menées par les féministes au XXe siècle lui ont permis d’obtenir le droit de vote, l’émancipation de la tutelle maritale et l’accès à la contraception.
Mais une fois ces gains obtenus, laissant croire que l’égalité était atteinte, les femmes se sont détournées de cette idéologie. On annonça même sa mort. Il semblerait cependant que l’espèce féministe québécoise ait réussi à survivre et se soit même reproduite.»

« Le féminisme est mort, vive le féminisme ! »

Avec Attention Féministes!, Rozenn Potin témoigne de la vivacité de jeunes militantEs féministes, qui réinventent méthodes d’analyse et d’action pour concilier aspirations modernes, convictions et épanouissement. Traduire en images la théorie féministe, la rendre accessible et attrayante, tel est le défi que relève ce documentaire de Rozenn Potin à la fois sensible, drôle et pertinent. Par des séquences d’animation et des mises en situation on y parle de travail domestique, de conciliation famille-travail, d’hypersexualisation, du patriarcat, de l’avortement, de la construction sociale du genre, de la théorie queer… Comme quoi, le féminisme est multiple!

On y découvre le féminisme de Coco, Pascale, Geneviève, Marco et Barbara, leur motivation, leur implication. Qu’est-ce que ça veut dire, être féministe aujourd’hui? Comment vivent-elles/ils cet engagement au quotidien? Et puisque le privé est politique, comment ça se passe dans la vie privée d’unE féministe? Voilà autant de questions auxquelles le documentaire tente de répondre. Loin de prêcher aux initiéEs-convaincuEs, Attention féministes! tente de vulgariser le féminisme du 21e siècle.




* * *


Le site Internet du documentaire : http://www.attentionfeministes.org/grand-titre/le-film/


La bande-annonce du documentaire :




dimanche 25 mars 2012

Lisa LeBlanc : « tannée de chanter des chansons de fi-filles! »


Tiré de sa page facebook :

« Moi, Lisa LeBlanc, je joue du folk trash. Je suis une Acadienne qui roule ses « r », qui aime se moquer d'elle-même, qui écrit des textes sans trop de froufrous et qui est tannée de chanter des chansons de fi-filles! »

C'est en plein coeur de Rosaireville, son village natal de 40 habitants au Nouveau-Brunswick, à Granby, lors de sa formation à l'École nationale de la chanson, ainsi qu'à Montréal, où elle réside depuis maintenant un an, que Lisa LeBlanc a écrit l'ensemble des chansons qui composent son premier album en carrière. Réalisé par Louis-Jean Cormier (Karkwa) et enregistré au studio Piccolo, l'album sera disponible en mars prochain sur Bonsound Records!

L'acadienne, qui composait ses premiers textes cinq ans plus tôt, est originaire d'une famille de mélomanes assumés. Excellente guitariste et auteure-compositrice-interprète prometteuse, Lisa LeBlanc a partagé la scène avec plusieurs artistes déjà. Lauréate de la grande finale du prestigieux Festival international de la chanson de Granby en septembre 2010, cet honneur lui donne une importante visibilité auprès des médias francophones du pays. Elle a depuis participé à la dernière édition du Coup de coeur francophone, aux FrancoFolies de Montréal ainsi qu'au Festival d'été de Québec l'été dernier, pour ne nommer que ceux-ci. Véritable bête de scène qui accumule déjà plus de 200 spectacles aux quatre coins du pays, en France et en Suisse, cette jeune artiste de 21 ans sait comment s'y prendre pour faire lever une soirée et faire danser son public! Trimbalant toujours avec elle son énergie, sa joie de vivre, son charisme, sa sincérité et bien sûr, sa belle voix et sa musique, le but de Lisa LeBlanc est simple: chanter aussi souvent qu'elle le peut! Et ce, pour notre plus grand plaisir!

Et pourquoi je lui fais de la pub comme ça? Tout simplement parce que j'ai bien aimé ce que j'ai entendu d'elle jusqu'à maintenant et que j'ai hâte d'écouter l'album au complet! Allez, je vous laisse juger par vous-même...


À matin mon lit simple fait sûr de m’rappeller
Que j’dors dans un lit simple
Avec les springs qui m’enfoncent dans l’dos
Comme des connes
J’ai pu l’goût qu’on m’parle de conte de Disney
Le prince charmant c’t'un cave
Pis la princesse c’t'une grosse salope
Y’en aura pas d’facile

P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde
P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde

J’avais les genous mous pis toute
C’était la plus belle affaire du monde
On aurait pu être l’inspiration d’une toune de Céline Dion
Quand y’a vu l’autre fille
Qui était plus chicks que moi
Il l’a ramené chez eux drette devant mes yeux
Osti de gang de pas d’classe!

P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde
P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde

J’ferais attention à toi mon p’tit gars
Parce que mes chums de fille veulent te casser les jambes
J’f'rais attention à toi mon p’tit gars
Parce que mes chums de fille veulent te casser les jambes

J’ai l’air d’une grosse robineuse assis toute seule au bar
En bitchant toute la soirée à ceux qui ont le malheur de m’écouter
J’leur dis p’t'être que demain ça ira mieux 
mais aujourd’hui ma vie c’est d’la marde

P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde
P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde
P’t'être que demain ça ira mieux
Mais aujourd’hui, ma vie c’est d’la marde

vendredi 23 mars 2012

Vendredi 17 février : 
Les élèves de 1e et de terminale option théâtre, ainsi que les élèves de l'atelier danse assistent à la représentation de SALVES de Maguy Marin, au Manège de Reims , dans la cadre du Parcours Découverte financé par la Région Picardie.

Un des articles écrits par les élèves :

"Toujours en colère contre ceux qui nous oppressent, Maguy Marin a le don de transformer sa colère en œuvres lumineuses, salvatrices et souvent sujettes à polémiques.

Sur une scène en chantier : quatre filles, trois garçons et quatre antiques magnétophones à bandes.
Les appareils tournent et crachent le feu d’un montage sonore qui entrechoque des voix illustres, des fragments de dialogues de films, des bruits de la ville… Des flashes de lumière, comme une rafale d’uppercuts visuels, évoquent la guerre, la colère, l’absurdité d’un monde qui n’a rien retenu des horreurs passées. Les personnages sont entraînés dans une course folle à un rythme d’enfer. De temps à autre, un geste d’amour s’esquisse, une caresse passe sur une joue. Puis des centaines d’images se bousculent à nouveau, mosaïques tour à tour dérangeantes ou comiques. Rien ne s’installe, tout est en mouvement. Impossible de recoller les morceaux de l’Histoire. L’amour a déserté l’époque.

Un spectacle d’où l’on ne tirera aucune morale, aucun message, uniquement pour laisser à chacun le moyen d’interpréter selon sa volonté, n’assister qu’à une suite d’actions sans en saisir la portée, analyser chaque geste et l’interpréter. Chaque geste mis en jeu devant 500 spectateurs donne lieu à autant d’interprétations.

Un spectacle où l’on assiste à un étonnant mélange de sons et de lumières, qui servent harmonieusement les moindres faits et gestes des danseurs. Des noirs nous interpellent, nous mettent dans l’attente du prochain rayon de lumière, venant de droite, de gauche et traversant la scène en diagonale. Une scène contenant plusieurs  scènes, construites pas les acteurs tout comme les hommes reconstruisent après les guerres, d’une manière rythmée et très bien organisée.

Un spectacle qui reprend les règles du répétitif, utilisé par Bach ou Reich en musique, elles se mêlent aujourd’hui à d’autres arts et nous fait assister à une nouvelle danse.
Maximilien  . TES1"



                                               ©Didier Grappe


jeudi 22 mars 2012

Test intermédiaire d'étanchéité à l'air

Hier nous avons assisté à un moment important de la vie du chantier :

Le test intermédiaire d'infiltrométrie

En effet il s'agit de contrôler le niveau d'étanchéité à l'air (les fuites) du bâtiment, tant qu'il est encore possible d'intervenir pour faire des corrections.
Sous la direction de Pierre Pasquier qui a fondé la société AKIAIRTEKhttp://www.akiairtek.fr/), et pionnier de l'étanchéité à l'air sur la côte basque, nous avons effectué ce test au n50.
L'objectif est d'avoir sous 50Pa un renouvellement d'air <0,6 Vol/h.

And the result is : 0,13 Vol/h !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Un grand bravo à toute l'équipe pour son implication !













Quelques photos pendant le test.

mercredi 21 mars 2012

Ancien-Nouveau (De l'Histoire)

Jeudi 16 février :
Représentation de l'Etude 5, Ancien-Nouveau (Etude sur l'Histoire) , par la compagnie Du Zieu dans les bleus, suivi d'une discussion animée et d'un atelier de réappropriation  . (Voir le principe ICI).















Eté présents :
les élèves de l'option théâtre (2d, 1e, Tle) ,
les élèves de 2de exploration arts du spectacle
quelques élèves de 2de option arts plastiques qui avaient assisté à l'Etude 4

L'Etude était jouée par Conchita Paz et Florian Onéin et accompagnée par Julien Bonnet et Laurence Claoué.

PUBLICATION

Bonjour,

Nous sommes heureux de vous informer que l'échangeur de Fère-en-Tardenois – CDC Picardie fait l'objet d'une nouvelle publication :

L'échangeur de Fère-en-Tardenois – un lieu simple
Aux Editions L'Entretemps – collection Etat des lieux
www.entretemps.org

L'échangeur de Fère-en-Tardenois, en Picardie, est devenu en 2011, le premier Centre de Développement Chorégraphique en milieu rural. Ce caractère « pionnier » en dit autant sur l'identité de L'échangeur, que sur la réalité des politiques culturelles en France. De quoi inviter au récit !




L’échangeur est, à bien des égards, simple. Sans décorum. Sans cérémonie. Sans prétention. L’équipe s’emploie à réunir les conditions pour que de nouveaux gestes artistiques puissent continuer de s’inventer le plus librement et professionnellement possible et, à partir de ces gestes, pour que des rencontres adviennent, appelant sans fin d’autres rencontres. Bien sûr, la réunion de ces conditions dans le contexte politique national et qui plus est dans un milieu rural, souvent malmené, est une gageure. Bien sûr, tout ce que soulèvent les arts dans les sociétés, ouvre des gouffres pour la pensée. Il y a de quoi disserter ! Mais l’équipe est résolument dans le « faire », concentrée sur les fameuses conditions à réunir, les situations à vivre. A L'échangeur les mots dépassent rarement les faits. Assez logiquement, L’échangeur n’a donc pas développé de littérature sur lui-même. Il fait joliment écho à cet art de la danse qu’il entend servir et qui, par nature, est éphémère et insaisissable. Le chorégraphe Merce Cunningham disait : « La danse ne vous donne rien en retour, ni manuscrit à vendre, ni peinture à mettre sur les murs, ni poème à imprimer, rien que cette sensation unique de se sentir vivant ».

Se sentir vivant.

La danse ne s’en interroge pas moins sur les conditions de sa transmission. Et c’est précisément ce qui nous préoccupe à l’endroit de L’échangeur. Transmettre. Et pour ce faire, raconter. Tenter de mettre en mot une expérience. En donner le goût.
En 1991, dans la minoterie en friche de Fère-en-Tardenois, nommée « Moulin Canard » est né L'échangeur...

CONFÉRENCE

Atelier des Doctorants en Danse

Bonsoir à tous,

Nous avons le plaisir de vous adresser le programme de notre prochain atelier de doctorants qui se déroulera le mardi 27 mars de 17h à 20h au Centre national de la danse de Pantin.
Cet atelier portera sur l'articulation entre pratique et théorie dans la recherche en danse.
Pensez à réserver si vous souhaitez participer à cet atelier en téléphonant au 01 41 83 98 98 ou en écrivant à reservation @ cnd . fr

NOUVELLE REVUE EN LIGNE

Versus, une nouvelle revue sur la danse, en ligne
http://www.speedbattles.com/versus_0.html

Avant d'être une pratique artistique, la danse est une pratique
anthropologique et sociale, une pratique qui touche tout un chacun, à tous
les âges de la vie. Cette pratique, aussi démocratique qu'elle puisse
paraître, semble paradoxalement l'une des plus élitistes et des plus fermées
au moment où elle s¹institutionnalise ou s'objective en oeuvre d'art.

Il s'agit pour nous d'ouvrir au maximum le discours porté sur la danse. De
multiplier les angles d'approches pour saisir une pratique tout autant
artistique que sociale. De diffracter les regards, de construire une vision
kaléidoscopique mais globale de ces pratiques de la danse pour sortir du
discours spécialiste dans lequel elles semblent prisonnières.

VERSUS est constitué d'une base iconographique et textuelle riche sur les
thématiques des arts et de la compétition. Il confronte la danse à la notion
de rivalité, à d'autres formes d'art, d'approches.

VERSUS propose de donner la parole certes aux artistes, aux chercheurs, au
danseurs, aux critiques, mais aussi au public, à ceux qui pratiquent l'art
en amateur.

Ce premier numéro de Versus confronte la danse à la notion de compétition,
faisant écho aux Speedbattles qui ont initié ces questionnements par leur
forme tout autant que par leur dynamisme et leur souci d'ouverture, et qui
ont permis de faire vivre cette revue. Neuf articles aussi riches que
divers, souvent personnels, toujours pertinents viennent ici proposer un
regard sur la danse à la lumière d'un concept qui la travaille et semble lié
à elle de manière très intime (qu'on le déplore ou qu'on s'en accommode).

Il s'agit pour nous d'ouvrir au maximum le discours porté sur la danse. De
multiplier les angles d'approche pour saisir une pratique tout autant
artistique que sociale. De diffracter les regards, de construire une vision
kaléïdoscopique mais globale de ces pratiques, sans sacrifier à l'exigence
d'une parole toute aussi intelligente qu'intelligible.
Nous aimons penser que tout est en mouvement, et que tout mouvement produit
une danse. Si celle-ci recèle toujours une énigme, une sorte de mystère que
l'on ressent souvent mieux que l¹on ne l¹analyse, Versus est l'occasion de
faire bouger un peu certaines lignes, de répondre au mouvement par le
mouvement, au mystère par le dialogue.

APPEL À COM

Bonjour,

le Département de danse de l’UQAM associé à quelques chercheurs en danse français propose un symposium sur la transmission en danse à l’Intérieur de la Biennale “Éducation Formation Pratiques professionnelles” organisée par le CNAM de Paris du 3 au 6 juillet 2012 ayant pour titre “Transmettre?” Nous souhaitons solliciter des chercheurs en danse français et européens pour participer à ce symposium.
Pour de plus amples information voir le site de l'ACD.

mardi 20 mars 2012

kit haut parleurs jbl 3 voies separees gto6583c Accessoires Tuning Châtillon (92320)

bonjour je vend ce kit jbl neuf ,jamais monter,dans sa boite,acheter 235e vend 160e ,renseignements voir les photos et au 0140929957 merci
plus d'info

dimanche 18 mars 2012

Horus à Ste-Catherine

Horus, jeune mâle rejeton de Spirit et Roger, né en 2010, a été appercu aujourd'hui à Ste-Catherine sur la rive-sud de Montréal. Patricia Lavoie a eu la chance de voir Horus sur le toit de sa maison, et elle a pu l'identifier grâce à sa bague 78/E. Merci pour les nouvelles Patricia !
APPEL POUR UN CONTINGENT ANARCHISTE
Prenez part à la manifestation du 22 mars avec des libertaires



L'Union communiste libertaire lance un appel pour l'organisation d'un continent anarchiste lors de la manifestation étudiante le 22 mars prochain. Joignez-vous à ...nous!

Rendez-vous à 12h30, au coin de la rue du Square Dorchester et de Peel, devant la caisse Desjardins. Pour nous trouver ensuite, cherchez les drapeaux rouge et noir.


La présence libertaire dans les mouvements sociaux

Les anarchistes prennent une part active à la lutte étudiante et leur influence directe et indirecte se manifeste de façon sentie : l’indépendance vis-à-vis des partis politiques, la démocratie directe, la place primordiale accordée à la mobilisation et les actions directes sont des principes et des outils au coeur de la lutte. Plusieurs idées libertaires font ainsi leur bout de chemin, et nous pouvons nous en féliciter collectivement! La manifestation sera un moment pour mettre de l’avant ces revendications et d’afficher notre présence!

Si vous êtes intéressé-e-s à préparer du matériel pour l’occasion (bannière, pancartes, tracts), nous vous invitons à venir nous rejoindre à notre atelier de travail la soirée précédant la manifestation, soit le mercredi 21 mars à 19h. Plus de détails sous peu.

Contre les reculs sociaux et la répression

Pour préserver leurs privilèges, les élites nichées au sommet des structures étatiques, capitalistes et patriarcales ne lésinent pas à utiliser tous les moyens. Outre le contrôle de l’agenda politique et social, les campagnes de peur et le profilage de militants et militantes,
le bras armé de l’État est mis à contribution pour intimider et réprimer les contestations.

Face à cette surveillance et cette répression, la formation d’un contingent libertaire permet d’éviter l’isolement de personnes et de créer un espace de sécurité et de solidarité. Au-delà de nos divergences respectives entre libertaires, nous subissons toutes et tous cette répression et pouvons lutter collectivement contre celle-ci.

C’est donc animé-e-s de cet esprit de soutien que nous vous invitons à vous joindre à nous!

Au plaisir de vous y voir,


Les militants et militantes de l’Union communiste libertaire

Le Pont de Trois-Rivières, Effondrement 1951

Effondrement du pont Duplessis à Trois-Rivières en 1951



Le 31 janvier 1951, à 2hr 55 du matin, une grande partie du pont Duplessis s’effondre et tombe dans la rivière Saint-Maurice, entraînant la mort de quatre personnes..



Le pont Duplessis était considéré à l’époque comme une réussite au plan du génie civil. Lors de son inauguration le premier ministre Maurice Duplessis avait déclaré imprudemment le pont solide et droit comme l’Union nationale (sa formation politique).



Le tablier de ce pont était supporté par deux poutres maîtresses en acier soudées d’un bout à l’autre ce qui était considéré à l’époque comme avancé au point de vue technique. Cependant les piétons qui circulaient sur le pont avaient noté la forte vibration en raison de la longueur du pont. Ce sera un point à considérer plus tard.



Le contrat fut octroyé le 28 juin 1946 à l’entreprise Dufresne Construction, qui relégua par la suite la préparation et le montage de la structure métallique à la Dominion Bridge Compâny.. Le coût de l’ouvrage s’éleva à 3 millions.$



Les principales caractéristiques:



La structure consiste en fait en deux ponts un situé enjambant le chenal Ouest et l‘autre le chenal Est de la rivière St-Maurice



La section Ouest, d’une longueur de 405,4 m s’étend de Trois-Rivières à l’Ile Saint-Christophe. Quant à la section Est, elle a une longueur de 195m et rejoint

l’ancienne ville du Cap-de-la-Madeleine.



Le 27 février 1950, l’année précédente de l’effondrement, une fissure vint affaiblir la section Est du pont. Cinq jours plus tard, une autre fissure est détectée sur la section Ouest.





Des plaques d’acier ont été immédiatement boulonnées à l’endroit des fissures et d’autres travaux de consolidation ont été entrepris. La circulation n’a pas été interrompue mais réduite à une seule voie.





Puis dans la nuit du 31 janvier 1951 vers 2hr 55, par grands froid (entre -30°C et - 32°C, le pont s’effondre sous son propre poids. Quatre travées de la section Ouest se brisent et plongent dans la rivière. Quatre personnes meurent dans cet accident.



Le pont est reconstruit et ouvert à la circulation le 12 novembre 1953. Cette fois-ci on ne prit pas de chances, on adopta le type de structure des plus conservateur. On utilisera quatre poutres au lieu de deux. Ce sera des poutres à treillis métalliques pour le chenal OUEST. Quant pont du chenal EST, le tablier fut consolidé par l’addition d’éléments de structures





Quelles furent les causes de l’effondrement.



Bien sûr, il y avait le grand froid qui rend l’acier fragile.



À la suite de l’effondrement partiel du 27 février 1950, la compagnie Dominion Bridge soummettait aux autorités un rapport d’une grande franchise, ce qui est peu commun.



Pour les structures métalliques, on appliquait généralement trois couches de

peintures à base de plomb. Une première couche de couleur rouge était appliquée à l’usine avant le transport et les deux autres couches de peinture de couleur verte étaient appliquées, une fois la structure érigée .



Dans son rapport la compagnie Dominion Bridge révéla la présence de rouge de plomb à l’intérieur des fissures, la couche de peinture appliquée à l’usine. En d’autres mots les poutres étaient déjà fissurées avant leur transport au chantier eet mises en place.



L’attaché de presse au bureau du 1er ministre Duplessis, M. Luc Désilets fit part en privé qu’il avait lu le rapport de la Cie Dominion Bridge et mais qu’il n’avait pas décelé la faille. En outre, il mentionnait que son patron M.`Duplessis avait pris connaissance aussi du rapport. Comme il s’agissait d’un document hautement technique il est compréhensible que la plupart des chapitres leur aient échappé.





Par la suite le fameux rapport est disparu de la circulation pour réapparaître lors de l’enquête qui devait avoir lieu quelques semaines plus tard.



Une enquête est mise sur pied.



En vue d’une enquête et pour répondre à une demande venant de différents bureaux d’études et organismes de par le monde: les pièces d’acier gisant dans le lit de la rivière furent remontées à la surface et déposées sur les rives.



Pour un ingénieur responsable du projet le verdict apparaissait simple. Il s’était avéré que les poutres mises en place étaient déjà fissurées et que l’acier ne rencontrait pas les normes. La responsabilité de l’effondrement de l’ouvrage ne pouvait qu’ incomber à l’entrepreneur et à son sous-traitant.



Cependant, il en va tout autrement lorsque entrent en ligne de compte les avis d’experts et des phénomènes reliés au comportement imprévisible de l’acier



Finalement l’enquête se mit en branle. Des commissaires furent assignés dont et certains furent reconnus comme de grande compétence dans ce domaine.



Ce fut par la suite un défilé d’experts et pseudo-experts.

Quelques uns affirmèrent que les failles décelées dans les poutres n’étaient qu’un élément responsable de l’effondrement et ne pouvait seul expliquer l’accident. Certains évoquèrent d’autres phénomènes propres à l’acier tel que la résonnance. Les vibrations excessives observées par les usagers sont reliées au phénomène de la résonnance.(voir en annexe le pont à Volgograd, Russie))





Il faut se rappeler qu'à la suite de l’effondrement partiel de février 1950, dans le but de renforcir le pont, des plaques avaient été boulonnées à l’endroit des fissures dans les deux poutres. Cependant, il y eut l’hypothèse que la structure ait été davantage affaiblie, les fissures auraient été aggravées et même d’autres auraient pu être crées.



La complexité des problèmes soulevés reliés au grand froid, aux phénomènes de résonnance et associés aux vibrations excessives et pour lesquels il ne semble pas y avoir de réponse nette rendirent les commissaires perplexes. Aussi, il en est résulté que les causes de l’effondrement restaient inexpliquées.



C’est à dire que c’est le gouvernement qui a assumé les frais de reconstruction.



Quant à l’hypothèse loufoque de possibilité de sabotage, soumise par le 1er ministre Duplessis lui-même, elle fut promptement écartée.

Nous étions en plaine période de guerre froide.





Bloc-Note:



M. Luc Désilete attaché de presse au bureau du premier ministre Maurice Duplessis M.. Désilets s’était joint aux Forces Françaises libres du Général de Gaule en 1944 et fut affecté au service d’information à Dakar.



Il est décédé à la suite d’un accident d’automobile un peu après les évènements en 1953,





LIENS


Pour en savoir plus:

Les ponts de Trois-Rivières, Tacoma et Volgograd


















mercredi 14 mars 2012

La grenade sonore Nouveau joujou des flics


L'utilisation abusive de grenades sonores (soundbomb ou soundflash) dans la manif-action du 7 mars 2012 par le SPVM, et les blessures subies par une dizaine de manifestants et manifestantes, exige que tous et toutes prenions conscience de ce nouvel outil répressif - car même si son usage date de plusieurs années il semble y avoir une intensification actuellement - et des risques que nous courrons.

Soundflash, gaz lacrymogène et fumigènes

Les fumigènes sont un projectile dégageant une épaisse fumée blanche, habituellement non-irritante. Ces projectiles sont rarement utilisés dans les manifestations.

Les gaz lacrymogènes sont utilisés plus fréquemment par les policiers, surtout à Québec. À Montréal, à cause de la densité et de la Ville souterraine, il est plus rare de les voir utiliser. Le 7 mars dernier, quelques « lacrymo » ont été utilisés. Il est très facile d'identifier un lacrymo. Premièrement, il n'y a habituellement pas de bruit, sauf peut-être un sifflement causé par le gaz qui est dégagé (bien que certains puissent toutefois faire des bruits de détonation alors qu'ils sont lancés). Le projectile a la grosseur d'une canette de liqueur et est d'une couleur gris métallique. La fumée qu'ils dégagent est opaque, dense, en grande quantité et souvent jaunâtre.

Lors du Sommet des Amériques de 2001, les lacrymo utilisés étaient extrêmement chaud, ils avaient la même forme (cannette métalique), mais le dégagement de fumée durait plus longtemps. Ceux tirés à Montebello en 2007, avaient toujours une forme de cannette et une couleur métallique, mais lors de la détonation la capsule s'éventrait et le gaz s'échappait plus rapidement. Notons, que le contenu de ces capsules ne se disperse pas entièrement dans l'air, une partie est projetée sous forme de poudre. Cette poudre atteint les manifestantEs et reste sur eux et elles, causant des irritations supplémentaires, même si on s'éloigne de la fumée. Il semble, selon toute vraisemblance, que ce sont ces derniers projectiles qui ont été utilisés à au moins deux reprises le 7 mars.

Les grenades sonores (soundflash) sont de plus en plus utilisées par la police pour disperser les foules. Généralement, elles sont projetées par des policiers situés derrière la ligne de front. Normalement, elles sont lancées haut dans les airs et éclatent en hauteur. Le 7 mars, certaines grenades sonores ont toutefois été lancées sur la foule. Plusieurs policiers ont été vus lançant ces projectiles de leur main, comme une grenade à fragmentation. Si des personnes ont été témoins de canon à soundflash, il serait bien de l'indiquer.

La soundflash est noire,de forme (plus ou moins) sphérique et de la grosseur d'une orange. La soundflash est fait de caoutchouc. La soundflash se reconnaît surtout par sa détonation particulière. Le bruit qu'elle émet particulièrement fort, le but étant de créer un effet de panique dans la foule. Lorsqu'elle éclate à proximité, elle peut créer des étourdissements chez les personnes touchées. L'explosion dégage également un flash lumineux qui pourrait, dans certaines circonstances (par exemple, dans l'obscurité) créer un léger éblouissement pour les personnes qui regarde dans cette direction. Une fumée blanche, en petite quantité, se dégage. Selon toute vraisemblance, des agents chimiques irritants seraient contenus dans la soundflash. L'effet est donc triple : commotion, étourdissements et perte d'équilibre causé par le bruit; éblouissement causée par la lumière et finalement, irritation des yeux, de la peau et des voies respiratoires causée par l'agent chimique. Étant donné que le SPVM semble user de ce projectile directement sur les manifestantEs, il faudrait ajouter un quatrième effet: les blessures liées à l'explosion comme nous en avons eu un triste exemple ce mercredi 7 mars.

Les policiers anti-émeutes semblent utiliser la soundflash immédiatement avant une charge. Les observations actuelles démontrent que les soundflash sont projetées par les flics situés derrière la ligne de front quelques secondes avant une charge des flics de la ligne de front. Cela semble maximiser l'impact de la soundflash. La confusion créée par les différents effets du projectile est amplifiée par la charge rapide de la ligne policière de front et le bruit des matraques contre les boucliers, le tout souvent utilisé de concert avec le gaz lacrymo et le poivre. Le 7 mars, l'utilisation de 2 soundflash, 1 projectile de gaz lacrymogène et une charge poivrée a été observée de manière quasi simultanée. Les lanceurs (flics) de soundflash semblent cibler les personnes situées à 2 ou 3 mètres de la ligne de front, peut-être pour ne pas créer de détonnation trop proche des autres policiers.

Quoi faire?

Lorsque les policiers se préparent à charger.

- Usez de vigilance.

- Observez le comportement des policiers situés derrière la ligne de front principale

- Repérez les policiers qui lancent les projectiles

- Regardez souvent dans les airs afin de repérer des projectiles métalliques ou noirs.

Si vous avez repéré un projectile noir (soundflash) dans les airs, couvrez vos oreilles afin de ne pas être trop affectés par le bruit. Protéger aussitôt votre visage, en vous penchant ou en tournant le dos au projectile. Une fois le soundflash éclaté, redressez vous immédiatement afin de bien voir le comportement policier et/ou la charge de l'antiémeute. Éloignez-vous tranquillement en marchant si vous êtes incommodés.

Si vous avez repérer un projectile métallique dans les airs, suivez-le du regard pour bien voir l'endroit où il tombera. Éloignez-vous tranquillement en marchant en vous couvrant les voies respiratoires. Si vous êtes en mesure, vous pouvez tenter d'éloigner la canette en donnant un coup de pied dessus. Ne touchez pas avec vos mains nues puisqu'elle pourrait être chaude.

Si vous êtes incommodéEs, confusEs ou éblouis, dirigez-vous calmement vers le derrière de la manifestation afin de vous éloigner de la ligne d'intervention. Si vous êtes blessés, avez les yeux irrités ou avez de la difficulté à respirer demandez le support des médics.

NOUVEAU : De Dietrich est présent sur mobile


Découvrez en exclusivité sur votre Smartphone le nouveau site mobile De Dietrich

Il vous offre toutes les fonctions les plus utiles en mobilité.

  • Retrouvez-y les informations sur les produits, actualités, vidéos, etc.
  • Grâce à la géolocalisation, trouvez les installateurs et SAV les plus proches de chez vous.
  • Faites une demande de documentation ou de devis en toute simplicité.

Accéder au site mobile : m.dedietrich-thermique.fr



mardi 13 mars 2012

PROPRIETE

Dernière parcelle constructible à Yverdon-Sud.
6'107 m2 à vendre dont 3'000 construits
Terrain plat en zone artisanale et commerciale à 1 km de la sortie autoroutière avec 2 accès sur la route cantonale.

078 612 58 77   p.s.d@live.fr





Veuillez cliquer sur l'adresse ci-dessous pour la localisation.





lundi 12 mars 2012

Intervention de Carbone 64 sur les bâtiments passifs à la CCI de Bayonne


La Chambre de Commerce et d'Industrie de Bayonne Pays Basque et le cluster Eskal Eureka vous proposent une réunion d'information gratuite.
Acteurs de la construction, entreprises, venez découvrir une autre façon de concevoir et de  construire.
Objectifs : plus de confort, moins de consommation, amélioration de la valeur de votre patrimoine immobilier!
Jeudi 15 mars 2012, de 09h30 à 11h00, a la Chambre de Commerce et d’Industrie Bayonne Pays Basque.

Informations : Maïder Diribarne, CCI Bayonne Pays Basque -  m.diribarne@bayonne.cci.fr