lundi 3 mars 2008

Interview Sud Ouest 27 février 08

A Saint-Jean-de-Luz beaucoup de familles vivent dans la précarité. Cette situation est le résultat de la vie chère et de la baisse du pouvoir d’achat des retraites et des salaires. L’Etat taxe les plus pauvres avec les franchises médicales, supprime l’exonération de la redevance télé, les produits alimentaires explosent.
- Nous réaliserons un état des lieux de la situation sociale dans notre ville.
- Pour lutter contre les inégalités, notre priorité sera de développer l’aide scolaire et éducative.
- Nous renégocierons un tarif jeunes, pour les loisirs publics et privés.
- Augmenter les moyens pour une action efficace du planning familial auprès de nos jeunes.
Aujourd’hui, trop de femmes/hommes sont obligées de s’arrêter de travailler car le coût de la garde des enfants est trop élevé. Celui-ci dépasse leurs possibilités financières.
- Nous créerons une crèche ou des minis crèches aux horaires élargis.
- Nous réfléchirons à de nouveaux modes d’accueil pour les enfants au-delà de 3 ans.
- Pour lutter contre les expulsions, nous mettrons en place un service de veille en relation avec la CAF, pour identifier et aider au plus tôt les locataires en difficulté.
- Nous développerons les consultations externes des spécialistes à l’hôpital de Saint- Jean, pour permettre l’accès aux soins à tous.
- Nous créerons un poste d’écrivain public pour l’aide à la rédaction des
courriers.
Des actions seront menées pour l’aide à l’accueil de nos aînés :
:
- Faciliter le logement en centre ville.
- Nous créerons une petite unité d’accueil jour au sein de l’hôpital pour les personnes âgées/handicapées.
Critique
En 2006, à St Jean de Luz :
40 Rmistes pour 1000 habitants.
18 pour 1000 habitants touchent l’allocation de parent isolé.
Ce sont des taux élevés.
La municipalité doit avoir une politique sociale plus ambitieuse pour remplir sa mission sociale.

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