Danse d’Existence, Danse de Résistance
« La Montée en puissance de la société de consommation, la réduction de l’espace public, la dégradation de nos libertés, les totalitarismes, les violences politiques nous obligent à penser un aujourd’hui chaotique. Il nous a semblé important de « faire un geste », de veiller par le geste. De ne pas s’éloigner de ce qui nous préoccupe tous : comment agir sur le monde, le rendre plus humain, moins injuste ? »
Cet édito de Bernardo Montet du Centre National Chorégraphique de Tours pour « Veiller par le geste et palabres », résonne particulièrement chez les élèves. Le projet 2008/2009 s’inscrit dans la continuité du travail réalisé cette année. Il le précise aussi en reprenant l’intitulé du CNCT : Danse d’existence, danse de Résistance. Danse d’existence, Danse de Résistance est une façon de se positionner et de s’engager dans la cité. Eprouver notre présence au monde par le geste. Ce geste plein et entier est un engagement, poétique et politique d’abord dans un temps et un espace donné : celui des élèves.
La danse ne craint pas de créer des alliances avec d’autres formes artistiques comme le théâtre, les arts plastiques, le cirque ou le rock. Elle apparaît comme une des forces d’expression et d’intégration de la conscience d’aujourd’hui les plus exemplaires.
Pour les élèves, participer à l’atelier, c’est échapper à une logique consumériste et pratiquer la danse avec attention et intention, loin des stéréotypes.
La danse devient une parole, un langage, pour exprimer aussi bien ses ressentiments contre le monde extérieur, que la vitalité de son propre monde et son refus de s’en laisser dépouiller.
Cet édito de Bernardo Montet du Centre National Chorégraphique de Tours pour « Veiller par le geste et palabres », résonne particulièrement chez les élèves. Le projet 2008/2009 s’inscrit dans la continuité du travail réalisé cette année. Il le précise aussi en reprenant l’intitulé du CNCT : Danse d’existence, danse de Résistance. Danse d’existence, Danse de Résistance est une façon de se positionner et de s’engager dans la cité. Eprouver notre présence au monde par le geste. Ce geste plein et entier est un engagement, poétique et politique d’abord dans un temps et un espace donné : celui des élèves.
La danse ne craint pas de créer des alliances avec d’autres formes artistiques comme le théâtre, les arts plastiques, le cirque ou le rock. Elle apparaît comme une des forces d’expression et d’intégration de la conscience d’aujourd’hui les plus exemplaires.
Pour les élèves, participer à l’atelier, c’est échapper à une logique consumériste et pratiquer la danse avec attention et intention, loin des stéréotypes.
La danse devient une parole, un langage, pour exprimer aussi bien ses ressentiments contre le monde extérieur, que la vitalité de son propre monde et son refus de s’en laisser dépouiller.
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